Girardin industriel : outil de stratégie fiscale et de diversification patrimoniale

Concilier optimisation fiscale à efficacité percutante et diversification patrimoniale : c’est ce que propose le Girardin industriel outremer. En effet, dans le monde complexe de la gestion patrimoniale, implémenter un plan d’action bien ficelé se révèle incontournable, et ce, sur plusieurs axes. Le mécanisme du Girardin Industriel se distingue comme une opportunité unique en son genre : lumière sur cet outil destiné aux contribuables fortement imposés.

 

Les aspects fiscaux du Girardin industriel

La réduction de l’impôt sur le revenu (IR) issue de cet outil est de 110% à 117% du montant que vous investissez dans le financement d’un projet ultramarin. Rappelons que les opérations se déroulent intégralement dans les DROM COM et qu’elles sont prises en main par un spécialiste : le monteur Girardin.

La réduction est calculée sur la base de l’investissement réalisé, dont le montant varie selon le projet et les sommes investies. Dans un Girardin de plein droit, ces dernières sont limitées à 250 000 euros. Si ce seuil est dépassé, alors le montage nécessite l’agrément des autorités locales. Pour un investissement supérieur à un million d’euros, dans ce cas, l’agrément provient des autorités de Bercy.

Ainsi, du fait de l’importante carotte fiscale qui en est issue, le Girardin industriel est particulièrement destiné aux contribuables soumis à des tranches marginales d'imposition élevées : en savoir plus sur www. cf-profina. com.

 

Au-delà de la réduction d’impôt : les enjeux patrimoniaux

En investissant dans des projets en outremer, vous diversifiez votre patrimoine sur le plan géographique : tous les territoires ultramarins sont éligibles, ce qui vous permet de réduire votre exposition aux risques liés à une économie nationale unique.

La diversification est aussi sectorielle :  les projets soutenus par le Girardin industriel couvrent une large palette de secteurs. Afin de profiter de ces opportunités, vous pouvez souscrire à des parts de différentes SNC (sociétés en nom collectif) ou SAS (sociétés par actions simplifiées) qui sont les formes sociétales intervenant dans le mécanisme de ce dispositif.

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